Catégorie "Fétichistes" : Scènes les plus récentes - 333 scènes trouvées

Cette belle cocotte est une bonasse qui n'a pas froid aux yeux. Alors qu'elle passe ses journées à faire passer des visites médicales aux prisonniers, elle se retrouve souvent dans des positions… acrobatiques. Aujourd'hui par exemple, deux gros gaillards menottés l'un à l'autre sont dans son cabinet. Et quand ils voient cette belle brune métissée asiat, qui a enfilé sa petite blouse de salope, ils sentent leur appétit se réveiller d'un seul coup ! Ce n'est pas comme si ça lui faisait peur, à cette chaudasse : elle se baisse tout de suite pour voir si la taille de leurs chibres sont à la hauteur de leurs muscles… Et c'est gagné : deux grosses queues bien massives et affamées lui tombent dans les mains, puis dans la bouche. Avec son corps un brin potelé, ses enjoliveurs aux gros boobs et ses belles cuisses qu'on peut malaxer, elle a de quoi occuper les prisonniers des heures durant. Ces deux tarés du cul n'ont pas baisé depuis des semaines, et le tarif qu'ils vont lui mettre vaudra largement l'attente !

Cette splendide créature est complètement soumise aux désirs de son maître, qui invite parfois un ami pour la corriger avec lui. Elle est tellement bandante qu'on est obligé de la démonter bestialement et de torturer sa petite bouche de garce. Il l'a habillée de longues bottes rouges en latex, d'un corset noir et d'un collier de chien : l'uniforme idéal pour accéder à tous ses orifices sans problème. La belle débarque dans le salon et se fait accrocher une laisse. A genoux, elle ouvre grand sa gueule pour laisser le maître et son pote la défoncer. Il enfoncent leurs mains, leurs bites, tout ce qu'il peuvent pour faire de ce gosier baveux un véritable trou à bites. L'un des amants la prend subitement par-derrière et la fait décoller de jouissance. Il pète ses petites fesses jusqu'à ce que son copain vienne placer sa bite à côté. Possédée par deux troncs en même temps, la belle succube s'abandonne aux ordres et à son humiliation : elle jouit comme une vraie petite chienne !

C'est ici que ça se passe, et nulle part ailleurs. Quand vous pénétrez dans cette maison et descendez les escaliers, vous vous retrouvez dans une cave qui restera à jamais gravée dans votre mémoire. La cave d'une maîtresse implacable, stricte et vicieuse ! Elle s'occupe aussi bien des individus que des femmes, et suit à la lettre le programme de sévices qu'elle s'est fixé. La première à en faire les frais est un caïd, simplement vêtu d'une cagoule et d'un harnais en cuir, et qui reçoit des gouttes de cire brûlante sur les burnes. La cire est immédiatement léchée par l'autre esclave, une blondinette toute fine, qui exécute tous les ordres que lui fiche sa maîtresse. Elle avale, reçoit elle aussi de la cire sur la paire de ballons, puis l'éjaculation de l'homme sur son visage. A chaque sévice accompli, la maîtresse coche une ligne sur sa feuille… Et la route est encore longue ! Les petits jeux pervers s'enchaînent à une vitesse folle ; le martinet cède sa place aux pinces à linge, la cire aux mégots de cigarette… Dans l'atmosphère brûlante et malsaine de cette cave, les soumis entrent dans une transe jouissive… Un délire total !

Voilà une vidéo qui va vous donner des idées, beaucoup d'idées ! Deux nymphes brunes, toutes les deux équipées de gros nibards pulpeux, s'en donnent à cœur joie avec un garçon et entre elles, passant d'une perversion à une autre à une vitesse affolante. Elles commencent pourtant par se lécher doucement, comme des coquines normales, mais deviennent folle dès que le caïd arrive ! Elles lui empoignent les burnes tellement fort qu'il en hurle de douleur, et s'amuse à lui écraser le zob avec leurs talons aiguille… Le gars a mal mais ne peut pas s'empêcher de bander comme un taureau. Ces deux nymphes se déchaînent et force le veinard à bouffer la moule de l'une tandis que l'autre s'affaire sur sa bite. Talons sur le gland, piège à rat sur la langue : elles ne se refusent rien, ces folles ! L'individu n'est pas le seul à vider de sa souffrance… Les nymphomanes s'emprisonnent les enjoliveurs, se déverse de grosses flaques de cire brûlante sur le rectum… L'expérience est tellement bandante que vous ne vous en remettrez pas !

Aujourd'hui, cette poupée blonde a voulu jouer les maîtresses. Elle a empalé une combinaison ultra-bandante et attrapé une laisse pour traîner son esclave. Le caïd s'est laissé prendre dans ses filets, en sachant très bien qu'il rendrait à cette nympho la monnaie de sa pièce… Il exécute tous les ordres qu'elle lui donne : lécher ses talons pointus, son fion, sa foufoune… Ce bolide blond est incroyable ! Le zob complètement au garde-à-vous, le gars regarde ces jambes recouvertes de mailles s'écarter et se placer à califourchon sur lui. Sa pine s'enfonce tendrement dans cette chatte déjà brûlante ; il sent la blondinette défaillir et tirer de plus en plus fort sur sa laisse. Les rôles sont sur le point de s'inverser… D'un baiser brûlant, le type lui fait comprendre qu'il en veut plus, et qu'il s'apprête à prendre les manettes. Il écarte les jambes de la naïve et la pénètre par-derrière, plongeant sans relâche dans sa foufoune… Les gémissements deviennent des hurlements. Ravi d'avoir conquis cette belle chienne blonde, il se dirige vers la table en verre pour y éclater tout sa crème. Et regarder sa toute nouvelle esclave tout lécher jusqu'à la dernière goutte.

Vous assistez à une scène envoûtante au possible… Deux gonzesses plus bonnes que bonnes, blondes et gaulées comme des avions se préparent à une petite séance de soumission entre elles. L'esclave blonde arrive en tenant sa laisse dans la bouche, comme une belle chienne obéissante. Elle aspire consciencieusement les pieds de sa maîtresse, perchée sur des hauts talons rouges, puis se fait limer la bouche à violents coups de gode… La maîtresse tient à entrer tout de suite dans le vif du sujet ! Elle lui met de petites claques sur le visage, bâillonne sa bouche, puis se met à lui enfiler des doigts dans la fente sans aucune espèce de ménagement ! La belle esclave blonde a bientôt le vagin complètement trempé, mais n'est pas au bout de ses peines ! La bonnasse qui lui sert de maîtresse enfile son gode-ceinture et se met à lui prendre la foufe comme un gars, envoyant de gros coups de butoir dans cette succube en laisse ! Qu'il est bon de voir ces bolides s'en donner à cœur joie, se baiser, se lécher, se malmener comme des perverses… Et regardez le joli visage de cette blondasse, qui se fait scotcher la bouche pour qu'on ne l'entende plus !

Ces deux types cagoulés sont de véritables explorateurs des temps modernes. Ils ont récupéré une proie parfaite pour leurs expériences, une nana soumise et aventureuse… Ils commencent tout de suite par la plaquer contre leur table de travail et écartent son cache-sexe pour observer les reliefs de sa fente. Dès qu'il est temps, ils enfoncent un premier ustensile dedans, histoire de vérifier la réaction de la chaudasse. Comme elle réagit plutôt bien, ces deux lascars se mettent vraiment au boulot ! Ils sortent un sex toy électrifié spécialement créé pour faire éclater les succubes comme des fontaines vivantes. Et avec cette bonasse soumise, ça ne loupe pas ! En quelques instants, son minou expulse des litres de mouille, comme une source qu'on viendrait de déboucher ! Chose faite, les deux gars peuvent enfin introduire ce qu'ils veulent (tout ce qu'ils veulent) dans la vulve béante de la naïve : leurs gros poings, des jouets sexuels, et même une espèce de tube en verre qui élargit encore un peu plus les parois de la soumise. Si on peut en plus en profiter pour la sodomiser sur sa table, tant mieux !

Deux businessmen attendent l'esclave qu'ils ont commandée. Ils tirent frénétiquement sur leurs cigares car ils savent très bien ce qu'ils vont faire d'elle quand elle arrivera… Et elle arrive. Le visage complètement recouvert par une cagoule en latex, l'esclave ne porte qu'un corset qui maintient ses deux énormes seins, et des bas blancs qui lui emprisonnent les jambes. Le premier type s'approche et met un coup de dents dans ces loches lourdes et naturelles. L'autre se frotte à elle par-derrière. L'esclave encaisse une première bite dans sa bouche, qui passe à travers le petit trou de son masque, puis est conduite dans la chambre. Là, les choses sérieuses ne tardent pas. La poule doit lécher profondément le fion, l'oignon du premier type, avant de se faire bourrer comme une chienne par l'autre. Tandis qu'elle pompe le zob de l'un, l'autre continue l'humiliation en sortant un martinet et en lui fouettant violemment le baba. Son pétard devient rouge comme une tomate et les bonshommes s'attaquent à ses boobs. Ils font ramper l'esclave comme un animal sur le parquet, puis s'en redonnent à cœur joie à défoncer sa bouche, et tout le reste…

Un long couloir, une chambre, une femme de chambre porte une bouteille qu'elle doit remettre aux occupants. La gonzesse qui lui ouvre la porte est drôlement vêtue et, plus inquiétant, elle porte sur les yeux un masque qui empêche de la reconnaître. Cette réflexion est interrompue par la poule qui l'immobilise et l'oblige à enfiler un capuchon couvrant le visage et un costume qui lui couvre la tête et le ventre, mais laisse ses yeux, ses épaules, ses gros loches et ses fesses nues. Une laisse attachée à son cou l'empêche d'aller autre part. Elle doit servir un amant noir assis tout nu dans une baignoire. Oh le pied, dont elle doit sucer d'ailleurs, le gros orteil, des pinces attachées à ses géants nibards, d'autres lui pendant des lèvres de la foune. L'autre poupée aussi semble soumise au bon plaisir du type masqué. Il se sert de ses fesses pendant que l'autre est occupée aux sévices de la bonasse de chambre. Elle l'oblige à astiquer le mâle avant de se faire astiquer elle, pendant qu'elle lèche la vulve de sa tortionnaire. Ce seront les préliminaires menant à l'acte final de cette scène post-moderne de sadisme soft. Le mari va préparer la foufoune de la poupée pour le fisting ganté de la maîtresse des lieux.

Chacune de leur côté, deux nymphes pulpeuses toutes recouvertes de latex nous font la démonstration de leurs charmes. La rouquine, comme la brunette, n'est jamais autant excitée que lorsqu'elle sent son corps être compressé de cuir, ses mains gantées, avec une odeur de sexe qui plane au-dessus d'elle. Elles se sont toutes les deux préparées pour un seul homme, le maître, celui qui décidera de leur sort aujourd'hui. Il arrive et regarde un instant ces deux salopes se pourlécher, se tripoter et ramper jusqu'à lui pour libérer son sexe. Son zgeg file dans les deux bouches reconnaissantes, qui encaissent et encaissent jusqu'à ce que le maître en décide autrement. Il soulève d'un coup cette brune exquise et l'enfile sur son zob tandis que l'autre veille au bon déroulement de la situation. Mais ce n'est pas forcément le maître qu'elle doivent craindre, mais bien leur copine, toujours prête à voler les faveurs du maître et à étrangler l'autre si elle ne se comporte pas bien…

Pour la première fois de sa vie, ce monsieur pénètre dans l'antre d'une dominatrice blonde plus sexy qu'une diablesse. Il a le cœur qui bat la chamade, mais sait très bien ce qu'il recherche : la perdition dans les mains exquises d'une femme qui ne pardonne rien. Elle le flanque à genoux devant elle, l'oblige à se prosterner devant ses pieds, puis lui attache les mains à une croix de bois. Sa proie ainsi bloquée, la maîtresse peut laisser libre cours à toutes ses envies, lui presser les flotteurs, tirer sur ses couilles, sortir son martinet pour le fouetter violemment… Elle ne se refuse rien, et enfile un gant en latex pour enfoncer des doigts dans son anus. L'amant est à la fois au paradis et aux enfers ; il se laisse complètement diriger et maltraiter par cette blondasse déterminée, qui l'oblige à renifler sa foufoune pendant qu'elle le stimulateur cruellement. Le dernière délire de Madame : se faire lécher et sucer les pieds par son esclave, puis lui accorder une branlette en maintenant son visage écrasé sous son pied…

Deux femmes pour un garçon. Tous se sont donné rendez-vous pour une soirée SM. La bicoque est immense et présente un beau potentiel. Une des deux déesses rampe à quatre pattes, le popotin en bombe et en direction de l'unique pieu déjà raide comme une matraque. Derrière ce masque de cuir noir froid et rugueux se cache une bouche chaude et humide, à l'intérieur de laquelle notre homme plante sa bite. Les coups de langue suintants et sensuels font durcir la pine de monsieur. Les masques de l'enfer conduisent le lascar vers la luxure. Se faisant lécher l'anus à pleine langue, il tend sa croupe et ouvre sa rondelle pour inviter cette douce langue à pénétrer plus profondément. Se faisant lécher les pieds et le mandrin par des esclaves délicieuses. Parcouru de frisons, notre homme se sent choyé comme jamais et voir ces deux bombes asservies le fait triquer comme un taureau ! Bientôt c'est sur le lit douillet qu'il pilonnera violemment une des deux salopes ! La nymphomane offre son cul à ce monstre sans même s'en inquiéter et prend beaucoup de plaisir à se faire élargir le rectum. Affamée, celle ci gobe la tige de notre étalon comme une bête, tandis que la seconde, assoiffée, se délecte du sperme encore chaud !

Cette cocotte est prête à payer pour s'offrir un trip fétichiste de dominatrice. Elle appelle et on dépose chez elle la poupée soumise qui convient à son fantasme. Une pulpeuse blondasse platine délurée à gros flotteurs, entre deux âges. Ce pervers de cochonne lui convient parfaitement. La dominatrice qui couve en elle se manifeste alors avec force. Elle doit soumettre la blondasse et y parvient en lui enfilant un collier de chien relié à une chaine. Elle l'oblige à se palper devant elle, les cuisses écartées, la main sous son slip. À distance raisonnable elle l'a observée et s'est mise à mouiller son g-string. Il lui en faut davantage. Sans amour, mais avec une passion déchainée, elle s'empare de la fente de la blonde, y goûte et salive comme une nana. Elle oblige la blonde à lui lécher la fente. Armée d'un gode, elle abuse de ses orifices, sa moule et sa gueule, lui pince la pointe des enjoliveurs… Il n'y a que la pénétration de son minou avec un vibro à ceinture qui pourra soulager sa hargne. Elle a beau obliger la blondasse lécher ses godasses, c'est la pénétration qui lui procure les plus fortes sensations. Divers objets sont introduits dans la foufe et dans le fion des gonzesses. Elles s'emportent toutes les deux à force de manipulations érotiques. Enfin rassasiée, la maîtresse peut payer l'esclave, elle a bien travaillé!

C'est connu : Sophie Dee a tout de la gonzesse blonde qu'on a envie de prendre dans tous les sens. Avec ses longs cheveux dorés et son petit corps de salope, elle semble inoffensive… Mais c'est mal la connaître ! Quand il lui prend l'envie de jouer avec un caïd, elle est inarrêtable. Elle a aujourd'hui décidé d'humilier un pauvre gars qu'elle fait bander depuis des années en lui promettant qu'un jour il pourrait la baiser. Mais avant cela, il faut qu'il passe à la casserole ! La délicieuse Sophie lui bâillonne la bouche, lui fourre une boule dedans et lui flanque de grosses fessées sur le popotin. Doigté, godé, l'amant est à point quand cette dame blonde enfile un gode-ceinture et le lui enfonce dans le gosier ! Son corps de pétasse, seins à l'air, est bandant à souhait quand Sophie sodomise le pauvre type en ondulant comme une sorcière… Le veinard se fait empaler, embrocher au bout de le membre viril en plastique qu'il se prend, et ne pense qu'à une chose : le jour où il pourra enfin défoncer Sophie !

Une tigresse enchaînée donne du fil à retordre à quatre hommes. Les individus assoiffés regardent le corps de cette superbe greluche accrochée à ses chaines et ils sortent aussitôt leurs queues dures telles des épées prêtes à s'enfoncer dans le corps de l'ennemie. La pouf tente de se libérer mais il n'y a rien à faire. Elle est à la merci de ces bêtes masculines et il y a fort à parier que tous se régaleront bientôt de cette sublime chair fraîche offerte en pâture. Les amants commencent en caressant le joli petit cul de la dame en glissant leurs langues dans son anus pour l'humecter avant de lui enfoncer deux épées de latex dans les orifices chauds et humides. La tigresse en profite également pour sucer toutes ces queues qui se pointent devant son visage. Après quelques instants, la succube est prise d'assaut par le quatuor et se fait mettre par tous les trous disponibles. En plus d'une double pénétration, elle se fait bourrer la gorge par d'autres grosses bites excitées. Elle est tellement défoncée qu'elle a du mal à reprendre son souffle. Elle se souviendra longtemps de cette rencontre avec ces mâles dominants...

Si on ne savait pas dans quel monde on vit, on pourrait être étonné de la scène qui va suivre ! Sur cette planète, les individus peuvent se faire livrer une garce à la bicoque. Suffit de signer le bordereau de livraison et on peut faire ce qu'on veut avec. Elle est là, au milieu de la pièce, dans son bel emballage plastique. Elle ne demande rien. On peut l'admirer, à distance, détailler ses formes, imaginer son visage, ses cheveux, ses obus, ses fesses, ses jambes ou ses bras à travers la mince pellicule qui la protège de la poussière et des égratignures. Mais bientôt, l'observation ne suffit plus et le veinard cède au désir de toucher l'objet qui trône au milieu de l'endroit. Ses mains parcourent l'emballage pour soupeser les nichons cachés sous la pellicule, il défait légèrement l'emballage et glisse une main à l'intersection de ses jambes, la chose a une vie, une chaleur, une odeur… Il ne se tient pas de joie et glisse aussi sa baguette entre la pellicule et l'abdomen de la belle. Alors, il quitte sa retenue et force le paquet à lui sucer la baguette. Il le déballe et lui écarte les derrières pour glisser une main inquisitrice dans l'oignon de la dame. Il lui arrache ce qui lui reste de plastique et réalise sa chance d'avoir reçu un aussi beau modèle, parfaitement équilibré et fonctionnel. Il lui livrera sa première éjaculation après une longue fellation.

Il n'y a pas que dans les films et dans les rêves que de telles scènes peuvent se produire. La gonzesse endormie rêve qu'elle est emmenée en voiture à la campagne. Sous un épais manteau, elle ne porte qu'une guêpière et de longues bottes. Maintenant, à pieds, dans un petit chemin de terre, ses flotteurs nus se livrent au soleil, son entrejambe laisse voir son pubis à tout venant. On lui bande les yeux et lui fourre un écarteur dans la bouche, elle est fouettée appuyée à un arbre puis traitée comme une chienne tenue en laisse et muselée. Sa dominatrice est une jolie grande brune vêtue d'une combinaison de latex qui laisse voir ses loches, sa foufe et ses fesses. Le rêve est toutefois très près de la réalité... Dans la cave d'un humide manoir, au milieu de son sommeil elle est à nouveau abusée, soumise au bon plaisir de la ténébreuse, mais aussi d'un tortionnaire rasé autour de la baguette. Elle se fait administrer des pénétrations, et doit lécher l'orifice et la foune de ses maîtres. Ce rêve charmant, elle craque le refaire aussi souvent qu'elle peut, et se réveille toujours toute trempée...

Quatre protagonistes pour une partie hardcore perverse et excitante à la fois. Le premier couple est du genre dominateur : elle, une belle et grande blonde vêtue d'un pantalon de cuir noir et d'un bustier au décolleté plongeant sur ses gros tétons, est toujours armée de sa cravache qui fait rougir les arrières-trains et de son jouet sexuel ceinture toujours prêt pour une bonne sodomie. Son partenaire, un méga dur robuste, est un amateur de bouche étroite ou de chatte serrée où planter sa mega quéquette. Ils font subir toutes sortes de tortures à un duo docile et soumis. La bonasse est filiforme, entravée par un collier de soumission, sauvagement pénétré, le clitoris martyrisé et ses petits ballons aux tétons meurtris par des pinces à linge... Son compagnon d'esclavage est sans cesse maltraité par sa maîtresse insatiable, qui lui fait lécher ses bottes et lui fera subir une baise anale sauvage pendant qu'il est obligé de bouffer la cramouille de sa bien-aimé de souffrance pendant qu'elle récolte la crème de son maître dans la bouche. Un quatuor infernal sado masochiste pour les amateurs de sexe extrême !

Bien cachée dans un placard, collier de strass autour du cou, en bas résille rouge et corset lacé en latex qui marque sa taille de guêpe et fait ressortir ses tétons magnifiques aux aréoles brunes, une superbe femme attend que la bande de zouaves avec qui elle a entamé une partie de cache-cache un peu sado-maso la trouvent pour lui faire subir une punition corporelle grivoise. Dès qu'ils la découvrent, ils la tirent par sa laisse et sans attendre l'agenouillent et lui ordonnent de sucer leur bite tendue d'excitation. Elle s'exécute docilement et y prend même un certain plaisir à la vue de sa petite fente rasée qui se remplit de mouille odorante. Allongée sur un amant qui lui a introduit son zob dans le rectum, elle continue à prodiguer des pipes goulues aux gus restés debout pour mater la ténébreuse au turbin. Il y en a un qui tire sur les grandes lèvres qui ornent l'entrée de son abricot et elle pousse des cris entre douleur et plaisir. Ils vont finir le jeu par la soumettre en lui entourant le visage d'un filet ne laissant qu'un trou pour sa bouche qu'ils vont inonder de sperme crémeux.

Dans l'ambiance glauque d'une histoire sado maso, deux belles femmes sont traitées en esclaves par une méchante Cruella qui les prépare à rencontrer un mari qui doit être leur maître dans l'histoire. Les poules sont bien faites, taille soulignée d'une gaine, fesses rondes, nichons généreux, visages plaisants maquillés à outrance et leur nudité accentuée par le port de longues bottes de cuir. La méchante est toute vêtue d'une combinaison latex moulante et elle est montée sur des talons si hauts qu'elle les domine d'une tête. Ils parcourent des couloirs sombres pour arriver au maître de céans. Leurs punitions qui n'en semble pas vraiment une, sera d'offrir au gars tout ce qu'un homme peut souhaiter de la part de gonzesses aussi jolies et aussi nues que ces deux là. Et elle lui font le grand jeu, des pieds à la tête, le léchant, de la pointe de le zob au couilles, s'offrant de la bouche à la foufe , des enjoliveurs au cul. Il n'a qu'à claquer des doigts et elles se soumettent. N'est-ce pas le fantasme de tout mâle de évacuer du corps de deux belles femmes à sa guise ? Celui là est bien servi !