Les individus sérieux aiment comparer, soupeser, évaluer. Les poules ne pensent qu'à jouer. Les deux se combinent parfaitement lors de cette petite sauterie organisée chez l'un des couples de copains. L'alcool coule à flot, les inhibitions tombent comme les pièces de vêtements, à mesure que les corps se dévoilent et qu'on peut enfin comparer, soupeser, approfondir… Et les bombasses s'amusent. Elles se pelotent, se font des chatouilles, agitent les doigts, s'échangent des langues, s'ensalivent. Et les amants sont de la partie, ils enfilent les bombasses sans ménagement, ouvrant un chemin dans une moule, entre des culs d'enfers accueillantes. Cheveux longs, cheveux courts, la ténébreuse a les plus gros nichons! Les bombasses attrapent tout ce qui dépasse : un téton, une baguette, une bouche. On gémit, on crie, on goûte on savoure. Les odeurs, les sensations sont décuplées. Les garçons enfilent les perles, les lèchent, les massent dans un concert de grognements et de rires. L'un après l'autre, ils viennent et reprennent aussitôt du service. De telles occasions ne se présentent pas si souvent!