Bien accueillir le visiteur, voilà la devise de ce salon sado-maso. Une blackette et une blondinette sont de service à l'heure où le client se pointe. Une meuf joue la soumise, l'autre la maîtresse cruelle, l'amant est soumis lui aussi. La blonde doit exciter le gars, l'Africaine, le provoquer. Il ne peut pas répondre aux insultes et doit se laisser titiller par la blondinette soumise aux ordres de la noire. Attaché, bâillonné, l'individu est psychologiquement réduit à un jouet. Il doit bouffer la vulve d'une blonde à quatre pattes sur une table de massage SM, sucer une fausse baguette sur l'abdomen de la maîtresse, regarder sa blondasse se faire mettre la même baguette noire dans la fente ou se laisser sucer étendu sur le dos. Si ce n'était des enjoliveurs fabuleux de la blondinette, tout ronds, aux larges pointes, aux formes allongés quand elle est penchée vers l'avant, ce serait un supplice pour n'importe qui. Au terme de ces sévices il pourra enfin mettre sa baguette dans la fente de la blondasse. Mais alors, après tant d'excitation, de privation, de douleur, le contact de la chair de sa baguette dans la foufoune de la blonde est super jouasse et provoque en lui une vague de plaisir qui submerge tout le reste.