Un long couloir, une chambre, une femme de chambre porte une bouteille qu'elle doit remettre aux occupants. La gonzesse qui lui ouvre la porte est drôlement vêtue et, plus inquiétant, elle porte sur les yeux un masque qui empêche de la reconnaître. Cette réflexion est interrompue par la poule qui l'immobilise et l'oblige à enfiler un capuchon couvrant le visage et un costume qui lui couvre la tête et le ventre, mais laisse ses yeux, ses épaules, ses gros loches et ses fesses nues. Une laisse attachée à son cou l'empêche d'aller autre part. Elle doit servir un amant noir assis tout nu dans une baignoire. Oh le pied, dont elle doit sucer d'ailleurs, le gros orteil, des pinces attachées à ses géants nibards, d'autres lui pendant des lèvres de la foune. L'autre poupée aussi semble soumise au bon plaisir du type masqué. Il se sert de ses fesses pendant que l'autre est occupée aux sévices de la bonasse de chambre. Elle l'oblige à astiquer le mâle avant de se faire astiquer elle, pendant qu'elle lèche la vulve de sa tortionnaire. Ce seront les préliminaires menant à l'acte final de cette scène post-moderne de sadisme soft. Le mari va préparer la foufoune de la poupée pour le fisting ganté de la maîtresse des lieux.