Catégorie "Fétichistes" : Scènes les plus récentes - 8 scènes trouvées

En amenant son amie de coeur consulter un toubib pour ses problèmes de santé, ce gars savait qu'il avait appelé le meilleur spécialiste de la ville, mais ne connaissait rien de ses méthodes ! Il entre avec sa femme, une brune sublime aux longs cheveux bouclés et aux seins extraordinaires, puis se retire quelques instants plus tard pour la laisser en consultation privée avec le médecin. Celui-ci se frotte les mains et l'emmène dans l'arrière salle, où son assistant l'attend. Les deux toubibs déshabillent le corps parfait de la brune, l'inspectent sous toutes ses coutures, jusqu'à lui placer un écarteur entre les lèvres de la fente. Ils regardent à l'intérieur comme à travers un hublot, puis se mettent à l'action. La seule solution pour guérir cette succube ? Sortir l'artillerie lourde ! Les deux cochons déballent leurs gourdins déjà gonflés par la sensualité provocante de cette bonasse, puis lui enfoncent l'un après l'autre dans la bouche. Cette fille accepte finalement de se retourner en cambrant son dos pour se faire besogner par l'assistant qui, après avoir bien pilonné ce havre de chaleur, décharge de longs traits de jus sur cette nymphomane. Mais l'autre n'en a pas fini, et regarde avec stupéfaction sa patiente se caler elle-même un bon fist dans le fessier…

Cette cocotte ne peut croire ce qui lui arrive. Elle a rencontré ce gars dans un bistrot et elle se retrouve maintenant dans une cave crade avec deux types qui ont décidé de lui en faire voir de toutes les couleurs. Ils l'ont attachée à une traverse en bois et l'un des amants frôle son ventre et ses obus à travers son chemisier avant de l'agrandir sur sa paire de tits, de déchirer sa jupe et son slip. L'autre observe le déshabillage et ne s'amène qu'une fois la ténébreuse dénudée. Les nichons appuyés aux travers de bois, elle reçoit les coups douloureux de divers fouets sur ses fesses et ses reins. Embrochée dans un poteau de table puis garnie de pinces à linge, c'est à quatre pattes qu'elle devra parcourir dénudée le plancher avec un manche de fouet enfoncé dans les miches. Pendue au plafond par des chaînes elle aura la pointe des enjoliveurs roussis par la flamme d'une bougie, le minou complètement ouvert par la main du type. À nouveau elle devra parcourir le plancher avec une chandelle dans le postérieurs. Ses efforts seront récompensés par la cire de la bougie qu'on lui fera éclater sur l'abdomen et dans le poil de sa foufoune. Comme si ce n'était pas assez, un troisième type va entrer en scène pour s'occuper des derniers outrages. Il va l'obliger à le sucer avant de la prendre devant les deux autres qui participent en donnant un coup de main pour l'immobiliser. Après avoir eu le visage couvert de bouillon, elle pourra enfin se reposer et leur exprimer son appréciation des attentions qu'ils ont eues pour elle…

Ce monsieur possède chez lui deux esclaves féminines de toute beauté, une ténébreuse et une blonde, qui ne peuvent s'empêcher de se chamailler. Aujourd'hui, quand il rentre chez lui, il s'aperçoit que la blondasse a ligoté la ténébreuse et lui fait subir des sévices inacceptables… Il prend les choses en main et décide d'inverser les positions : il menotte la blondinette et commence à lui flanquer d'énormes coups de fouets sur l'arrière-train, faisant rougir ses belles fesses en deux temps trois mouvements. Il explique à la brunette comment claquer le postérieur d'une chienne pareille, et s'empresse même de lui apprendre de nouvelles choses. Lui enfonçant un objet au fond du cul, il s'attaque à ses tétons et les ligotes de telle manières qu'ils deviennent rapidement tout bleus, voire violets, tant ils sont serrés. La blondasse couine mais la ténébreuse compte bien continuer à se venger. Elle l'oblige à lui bouffer la fente avec un super jouet sexuel enfoncé dans le rectum, les mains attachées et des pinces accrochées aux tétons. La blondasse souffre mais ses plaintes se transforment peu à peu en gémissements. Puis en miaulements. Puis en véritable jute de plaisir douloureux…

Une jolie meuf se fait enlever par un couple aux tendances perverses. Et c'est dans leur garage que l'épouse, une teigne en puissance va s'occuper de son cas et de celui de son jules. Adorant être soumis à l'extrême, le garçon cède aux moindres ordres de sa garce de compagne. Pour affûter son appétit, elle le déshabille, lui met un collier en cuir autour du cou et se met à le fesser. Puis c'est au tour de leur prisonnière de s'en prendre plein la fente, en se faisant fister. La pouf ayant bien avili cette pauvre nana, elle va la libérer et lui proposer de participer à sa séance de vexations, ce qu'elle va accepter non sans plaisir. La maîtresse attache son compagnon à une poutre, lui dilate le fion à grands coups de gode gonflable pour ensuite faire de même dans l'antre béante de la captive, lui pincer ses nichons et lui installer des pinces à linge sur ses lèvres. Puis les deux harpies s'attaquent au mâle. Elles vont se régaler à lui infliger les pires sévices, lui brûlant les babas à la cire, le fouettant, le dénigrant et le rabaissant sans fin pour enfin le jeter dans un minou et le laisser là.

La cocotte se trouve dans un décor de clinique. Elle est couverte d'une combinaison de maîtresse sado-maso. Le caïd dans un sarreau blanc l'attend. Il joue au médecin avec la pouf. Lui demande de retirer le haut de sa combinaison et de lui montrer ses obus. Sa queue se dresse et la succube s'en saisit, prête à lui faire un autre jeu. Mais lui veut d'abord lui enduire la peau. Ainsi lubrifiée, sa peau brille et glisse, prélude à une première pénétration dans sa moule luisante et glissante… À son tour la fille devient dominatrice. Elle pose un bâillon au mec et revêt un gode-ceinture. Elle joue ensuite à piquer des pinces à linge un peu partout sur le ventre du type, elle le suce et se fait sucer le vibro, elle lui fait aussi sucer le manche dont elle se servira pour lui élargir le derrière avant de le pénétrer de son jouet sexuel. Ses gros enjoliveurs s'agitent dans le mouvement de taraudage qu'elle nous offre. Elle ne s'arrêtera pas en si bon chemin et enfoncera dans le postérieurs élargi du mec une main qu'elle a couvert d'un gant de latex. Bien qu'il s'agisse d'un jeu, la créature y met vraiment beaucoup de sérieux. Elle ira loin cette créature !

Ce ménage est épris de changement. Leurs séances de baise ne sont jamais ennuyeuses et celle-ci s'annonce encore meilleure. Aujourd'hui, la cocotte sera l'esclave soumise des rêves de son caïd. Après l'avoir déshabillée, il lui a attaché les mains, un tablier, lui a mis un collier de chien autour du cou et a enroulé autour de ses gros loches des chaînes dont les aspérités irritent la peau fragile de la belle. Avec un petit couteau acéré, il s'amuse à lui infliger de petites blessures qui l'échauffent, lui aussi bien qu'elle. Ayant trouvé de quoi lui attacher les bras au plafond, il s'est ensuite amusé à lui chatouiller l'aisselle avec les feuilles d'un arbrisseau qu'il a emmené exprès. Les yeux bandés, elle doit subir les pinces qui lui blessent les obus. Il les lui arrache ensuite à coup de cravache. Ouch! Il lui ceint ensuite les enjoliveurs d'une corde qui lui font deux mamelles turgescentes. Il lui inflige une fessée, des pincements, diverses humiliations au moyen du slip qu'il a plongé dans sa foune avant de lui mettre dans la bouche. Puis il l'enduit de cire chaude sur les arrières-trains et les nichons dont il se sert comme d'une pelote à épingles avant de plonger sa main profondément dans sa foufoune. Ayant accompli les gestes qu'il pourrait qualifier de préliminaires, il quitte le salon où il ne reviendra qu'après s'être un peu remis de ses émotions.

Les rendez-vous chez le docteur n'ont rien de bien réjouissant pour la plupart des chattes en chaleur mais la séduisante nénette a trouvé une clinique dans les petites annonces qui promet de faire des prodiges sur les inhibées sexuelles. Dans la salle d'attente, la jolie feuillette fébrilement un magazine et mouille abondamment. C'est une angoissée qui répugne à rencontrer un professionnel pour ce genre de choses. Dans le salon à côté, trois copains se préparent à la rencontre en consultant son dossier. C'est la dernière patiente de la journée et celle-là, ils lui feront le service complet avant de rentrer à la bicoque. La magie opère, la pouf se sent la reine au milieu d'un harem de copains qui la matent, la déshabillent, lui font écarter les jambes alors qu'elle cède à toutes leurs exigences complètement impuissante. Elle subit le spéculum avec un certain plaisir. Elle subit les contacts rectaux et vaginaux, la palpation des enjoliveurs et l'auscultation avec une impatience qu'elle ne se connaît pas. Quand ils lui présentent leur bite à tour de rôle et qu'ils utilisent en elle divers instruments qui se trouvent dans la salle d'examen, elle ne se contient plus et mouille la table. Elle souhaite vivement avoir ces bites profondément en elle. Elle les aura toutes les trois et une averse de miel inondera ses lunettes qu'elle n'a jamais songé à enlever de peur de perdre un instant l'image de tout ce qui lui arrive de merveilleux. Elle reviendra subir son examen beaucoup plus souvent maintenant qu'elle a trouvé les bons médecins.

Cette cocotte invétérée n'aime rien autant que les cochonneries, les vraies saletés et toutes les expériences qu'elle peut faire de ses orifices. Elle vous fait déjà bander rien qu'en la voyant, avec ses cheveux blonds et son visage d'allumeuse, mais si vous saviez ce qui se passe dans sa tête ! Elle commence par sucer deux queues, ensemble dans sa bouche de chienne, puis plonge sa langue dans le postérieurs de l'un de ses copains. Elle s'est trouvé deux potes aussi pervers qu'elle qui l'aident à assumer ses vices, et surtout à lui insérer tous les objets possibles dans la foufoune et le popotin. Tiges, bâtons, bocaux, tout est bon pour dilater les orifices intimes de Madame, qui trempe à vue d'œil et lorgne les deux bites d'un air impatient. Et justement, ces bites ne sont pas là pour lui faire le moindre cadeau, mais pour la ramoner sauvagement, à coups de double-pénétrations anales, de limage de chatte à gogo et d'avalanche coups de burin à n'en plus finir. Et j'oubliais : la dame a également très soif  de miel tiède et salé !