Vous allez bander sec en voyant cette gonzesse en robe se dandiner jusqu'à sa bagnole. Les robe à pois, il n'y a que ça de vrai… Surtout quand vous mettez à l'intérieur une bonnasse pareille avec un troufignon joufflu qu'on a envie de péter, des loches compressés, un beau shorty de salope… Ca m'a mis l'eau à la bouche rien que d'en parler. Et la voilà qui arrive dans une boîte pour son entretien. Juchée sur ses talons pointus, elle ne craint rien ni personne. Il lui suffit de s'asseoir sur le bureau en écartant les jambes, et le patron est conquis. Il plonge son museau dans les rebonds charnus de son fessier, puis teste, en tant que gérant, la technique de sa bouche. Elle avale bien, la bonasse, et sa chatte prend les mandrins magnifiquement. Vous vous y plantez, et ça se resserre illico autour de votre tige, sans lui laisser le choix. Entre ses pieds, aussi, on décolle de plaisir. En fait, tout est bon dans cette gonzesse, et on ne se lasse jamais de voir sa gueule de peste en train de propulser – ou de nous faire éclater…