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Vous craquez déjà pour ce beau brun, avec sa barbe de trois jours et son corps finement costaud. Son fessier est cloisonné (pour l'instant !) dans un slip blanc bien moulant, qu'il baisse en se cambrant pour nous montrer l'intérieur de ses cuisses. Un trou du cul poilu, ferme, qui ne demande qu'à être embroché ! Vous tenez le kodak, et donc le pouvoir ! Le beau brun le sait est se montre prêt à tout pour vous satisfaire. Il se place à genoux devant le kodak, et happe votre sexe dans sa bouche chaude en prenant bien soin de vous faire gonfler au maximum. Une fois qu'il sent la raideur extrême de votre tige, le coquin se masturbe langoureusement et se vautre sur le dos en attendant votre visite. Tenez l'objectif bien serrée, et plongez votre organe dans le vagin brûlant du beau brun, qui relève ses jambes à fond pour vous laisser entrer… Vous découvrirez alors la tendresse de son anus étroit et souple à la fois, chaud comme un four, et entendrez les grognements sensuels de votre hôte… Qui finira par cracher d'excitation dans les poils bruns de son pubis !

Que feriez-vous si, en rentrant chez vous, vous trouviez Nikki Benz en train de se trémousser sur votre divan, enveloppée d'une tenue noire à tomber par terre ? Ce n'était pas une question, car je sais pertinemment que vous feriez comme ce monsieur qui, complètement abasourdi par le corps surexcitant de la poule et de ses deux énormes seins, s'approche d'elle en grognant… De plus, cette pouf ne se contente pas de se trémousser : elle sort ses deux gros obus et, quand il passe à sa portée, se jette sur sa bite déjà raide. La blondinette sent le sexe à des kilomètres et le lascar a bien du mal à ne pas succomber ; il se met à poil et laisse la belle faire ce qu'elle veut de son mandrin turgescente (pour son plus grand bonheur à lui aussi)… Après avoir fait entièrement disparaître cette grosse queue dans sa bouche, la naïve la fourre entre ses deux collines moelleuses, encore plus confortables et savoureuses qu'une chatte. Le chibre du type est devenue énorme, presque trop grosse pour s'enfiler dans le minou étroit de la belle, qui lui grimpe pourtant dessus et insiste pour se faire niquer violemment. Quel corps splendide ! Quel festin !

Il y a de quoi pâlir en voyant débouler cette rouquine de 18 piges tout droit sortie d'un fantasme. Sa robe noire moule à merveille son corps de fou, et ses joues sont couvertes de petites taches de rousseur. Un délice. Elle est (pour l'instant) seule dans une chambre et se déshabille sensuellement. Sa peau est d'une pâleur divine, et sa vulve d'un rose presque fluo ! Elle écarte ses lèvres pour nous et termine complètement déshabillé quand l'amant arrive enfin. C'est hyper simple : les gros obus blancs de la dame sont déjà huilé, il n'a plus qu'à les malaxer comme un dingue et à plonger sa tête dans la foune la plus colorée qu'il ait vue. Puis il la laisse montrer ce qu'elle est capable de faire avec sa bouche de peste, ses gros rotoplos et son corps. Elle le branle entre ses nichons, le pompe, et écarte grand ses cuisses pour qu'il entre enfin en elle. Ouille ! Ca c'est de la petite chatte ! Toute petite chatte tout juste majeure ! La beauté couine de douleur et de plaisir ; elle rend le mari complètement taré et tord son corps de peste dans tous les sens. Giclante, la rouquine !