Catégorie "Gays" : Scènes avec le plus de votes - 326 scènes trouvées

Voilà un spectacle auquel on assiste beaucoup trop rarement… Nous sommes dans l'intimité totale d'un bel époux robuste au charme tout simplement parfait, qui ressent bientôt de terribles démangeaisons au niveau du caleçon. Plongeant finalement sa main entre ses jambes, il saisit son gros sexe déjà un peu palpitant et réalise qu'il a une furieuse envie de sexe. Grâce à ses gestes suaves et experts, il ne tarde pas à avoir une érection phénoménale se branle allègrement en regardant la petite caméra qu'il a placée dans sa chambre. Ivre de plaisir, notre beau gosse se tortille dans tous les sens et nous laisse admirer les moindres recoins de son fessier, un trou de balle ferme et solide comme du roc qu'il agite tout en continuant sa séance de branlette. Se sentant sur le point de craquer, notre homme se remet sur le dos et nous honore de longs traits d'éjaculation qui viennent s'écraser sur les replis saillants de ses muscles.

Il travaille à un devoir de sociologie. Très consciencieux il cherche les vrais réponses aux grandes questions. C'est dans les petites annonces d'un populaire canard gay qu'il trouve le numéro du type qui pourra lui apporter quelques unes de ces réponses. 1ère observation : les possibilités sont nombreuses. Son contact et lui doivent se reconnaître sur le trottoir au carrefour de deux rues. 2e : les codes sont simplifiés à l'extrême. Ils s'appellent pour faire le point et se retrouvent. Tout de suite ils décident, chez moi ou chez toi? Et sautent au paf! 3e : les préliminaires ne se prolongent pas lors de ses rencontres. Tous deux sont dénudé, occupés par la baguette de l'autre, qu'ils soupèsent, évaluent, goûtent, et titillent comme ils aimeraient être titillés. Ils mesurent leur baguette, se lèchent le petit trou, en mesurent la profondeur, le degré de dilatation avant d'y enfourner une bonne baguette bien dure. 4e : la technique est toujours la même, planification et action. Dans l'action, la souplesse, l'endurance, le feedback, la complicité mènent tout droit au plaisir partagé. Quand tous les partenaires trouvent satisfaction et en viennent à l'éjaculation, on peut conclure au succès de l'entreprise. Conclusion de l'étude : les rencontres de ce genre procurent du plaisir!

Deux types se retrouvent sur le lit d'un appartement de Paris. Ils ont l'un pour l'autre une passion dévorante. Étendus presque nus, ils échangent des caresses et des baisers qui ne sont qu'un prélude aux caresses et aux baisers qu'ils échangeront au cours de la journée alors que leurs corps partiront à la découverte. D'abord leurs baguettes puis leurs culs. La bouche ouverte sur la baguette de son copain, le premier suce, astique et pompe sans relâche pour faire monter la sève dans la baguette. Bien humecté, l'autre s'adonne à une première pénétration anale. Reprenant la baguette de son mari, le premier goûte sa propre chair à travers lui et en éprouve un plaisir intense. Sur le dos, il reprend son action et aspire avidement avant d'être repris par derrière en levrette. Cette fois la pénétration est plus brusque. C'est un jeu de domination ou le plus fort profite du plus faible et inversement, le plus faible profite de ce qu'on lui fait. La pénétration s'achève dans un jet de bouillon qui emplit son cul. Alors seulement, l'amant est maintenant le maître puisque l'autre est HS. Dans cet état de dominant, à son tour, masturbant sa propre baguette, il s'épanche à son tour sur le ventre de son pervers.

Deux beaux types, la vingtaine, se réveillent doucement dans leur lit, encore tout engourdis de sommeil. Ils se caressent, lentement, puis commencent à se lécher de manière un peu plus coquine… Les deux ne tardent pas à bander sévère et à glisser leurs mains sur le corps de leur partenaire. Le coup d'envoi est lancé par le plus fin des deux, qui attrape d'un coup le kiki de l'autre dans sa bouche et entame des va et viens lents et appliqués. Un petit 69 pour qu'il n'y ait pas de jaloux, et le spectacle peut continuer. Le plus entreprenant des deux grimpe sur la queue dressé de son amant, pour la première d'une longue série de pénétrations. Les deux beaux gosses se tournent et se retournent, s'embrassent, se lèchent, se palpent et se font éjecter à n'en plus finir. Une aussi belle journée ne pouvait mieux commencer, et voici nos deux compères filant tranquillement prendre leur douche du matin.

Par une journée d'été où la température est bien au dessus des 30 degrés, deux copains gays essayent de se rafraîchir en s'installant sur la terrasse pensant prendre un peu d'air frais. Ils sont assis sur le sofa et il n'y a pas que le thermomètre qui se met subitement à grimper. Nos deux lascars collés l'un contre l'autre sentent un désir intense se propager dans leurs corps chauds et trempés de sueur, si bien que le premier glisse sa main dans le pantalon de son mari et en sort une queue au garde à vous qu'il masturbe d'une poigne tendre mais ferme à la fois. Il prend ensuite entre ses lèvres son gland qu'il suçote doucement puis enfonce son zob plus profondément dans sa gorge tandis que sa main fait des mouvements de va et viens. Cette fellation est sensuelle et on entend les gémissements de plaisir du type qui jouit bruyamment. Ils ont chauds et décident de finir cette séance de baise sous une douche tiède. L'eau coule sur leur peau brûlante et ils s'embrassent à pleine bouche pour sceller cette union torride.

Après des mois d'attente interminables nos deux amoureux se retrouvent enfin. Durant tout ce temps ils ont fantasmé l'un sur l'autre et aujourd'hui, ils sont bien décidés à rattraper le temps perdu. Seulement, la distance peut parfois mener à la tromperie. Une surprise se cache dans le placard… Les deux amoureux s'enlacent, se saisissent le kiki fougueusement. Les bouches bouillantes et les zgegs gonflées se marient. Les deux hommes frissonnent tandis que le placard tremblote : un superbe métis est planté là, le zob plantée dans une chèvre gonflable ! Plutôt que de gâcher le moment par une crise de jalousie, les deux amoureux invitent le métis à le gangbang. Les deux verges tendues vers lui, le nouveau ne sait plus où donner de la bouche. Suçant comme une machine ces deux mandrins d'acier avant de se faire gober la bite à son tour. Les trois hommes se lient à merveille. Les trous de balle sont ouverts et chauds à point. L'un des deux amoureux se fait pilonner par son lascar tandis que le métis ne cesse de se faire astiquer la queue. Bien mieux que sa chèvre, son mandrin est enveloppée d'une bouche chaude et douce. Le pilonnage s'intensifie, le fion, l'oignon se détend, l'enculé est comblé et recevra deux bonnes doses de semence chaud !

Un couple gay décide de tenter sa chance dans le porno. Ils ont justement rendez-vous pour un casting. Installés sur un canapé, ils se tiennent la main et écoutent avec une légère angoisse le scénario que leur explique le producteur. Ils sont prêts à commencer, se lèvent et commencent à s'effeuiller lentement, se couvrant de caresses et s'embrassant affectueusement. Ils se détendent un peu, l'un deux s'agenouille pour offrir sa bouche au va-et-vient de le kiki de son partenaire, il lui gobe les valseuses avant de se voir pratiquer lui aussi une sucette avide et profonde qui le fait frémir de plaisir. Le pervers qui les observe attentivement leur demande de préciser leurs attouchements... Ils s'exécutent en se faisant mutuellement un anulingus puis le plus mince des deux, après sa langue introduit un plug dans le rectum de son compagnon qui se raidit, avant sa pine turgide pour une bonne sodomie qui va conduire le duo à l'orgasme, et à une longue et abondante éjaculation qui les recouvre de nectar bouillant.

Le producteur rend visite à son acteur pour lui montrer les rush du porno hard et sado maso qu'il a tourné dans la semaine. L'histoire se déroule dans une prison fantastique où les accessoires sont des instruments de torture imaginés par un bourreau sadique qui réclame une soumission complète de la part de ses prisonniers. Il les oblige à le sucer et à lui faire les choses qu'on ne fait qu'aux amants. Il se fait bouffer le derche avant de se mettre à son aise dans les cordages pour se faire longuement bouffer la baguette. Et gare au prisonnier si ça n'est pas à son goût, ou s'il en décide ainsi ! Alors, il encule son esclave à quatre pattes ou attaché aux cordages. Et si ce n'est pas assez, il a recours à un godemiché qu'il enfonce à fion la caisse, avant de s'y remettre à même sa baguette jusqu'à ce que sa victime se rende. Dans la vidéo, le prisonnier a un rôle de premier plan. C'est le seul dont on voit le visage et il doit jouer une vraie victime. Le producteur est vraiment content de son poulain car la prestation est plus que réussie !

Dans cette caserne, on s'ennuie ferme si on ne trouve pas d'occupation pendant les longues journées d'attente. Deux soldats sont dans une chambre et ont déjà déboutonné leur uniforme pour s'admirer d'un peu plus près… Ces deux-là se croient en manœuvre, et dès qu'on leur dit « présentez armes », ils sortent illico leur chibre de leur treillis ! Un troisième larron les surprend. Zut. Mais il s'avère que ce dernier est aussi un coquin de première qui s'ennuie. Il les rejoint et prend discrètement place entre eux pour se faire aspirer le kiki. En quelques minutes, la tente est transformée en un véritable atelier de la pipe, où nos soldats guerroient avec leur bouche, leur langue, tout leur corps frétillant d'impatience. Ca ne pouvait pas manquer : les deux plus costauds prennent le troisième, plus frêle, et le font se mettre en levrette. L'un des bonshommes se place derrière lui et enfonce avec frénésie son zob au cœur de son popotin moelleuses. Le rectum de cette recrue est un gouffre incroyable de plaisir, entièrement rasé, ce qui donne rapidement envie à l'autre d'essayer à son tour…

Alors qu'il se croit seul chez lui, un beau grand mâle s'offre une petite branlette en solo. N'ayant pas de réponse quand il a frappé à la porte, son voisin est entré et l'a cherché partout dans la résidence. Arrivant à brûle-pourpoint dans une scène où il n'est pas prévu qu'il ait un rôle, la seule parade que trouve le caïd, c'est d'ouvrir sa braguette et de tendre sa baguette tendre en guise d'excuse ! La surprise est de courte durée et notre grand mâle s'est emparé du chibre de son voisin et se l'est illico enfoncé dans le clapier, coupant court à toute explication. Il l'a longuement savouré et maintenant il veut faire payer l'intrusion inopinée par une autre plus opinée dans les circonstances. Agenouillé dans l'escalier, il présente son postérieur à poil à l'intrus. L'occasion est trop belle et l'intrus s'exécute. Il enfonce sa baguette dans un vagin plus qu'ouvert. Il va et vient jusqu'à ce qu'éjaculation s'ensuive. Intensément stimulé, l'hôte peut enfin terminer ce qu'il avait commencé et éclate à son tour.

Deux gaillards aux muscles gonflés et à la peau tatouée vont s'adonner à des jeux sexy dans un immeuble non loin du septième étage… La tête dans les étoiles et les sexes plongés dans les rondelles profonds, tel est le portrait que l'on peut dresser de cette scène. Une bonne baise nécessite une bonne préparation. Une bonne séance d'avalage de tige dont dépendra la suite des évènements. Celui qui se la fait sucer bande toujours plus vite. Mais celui qui gobe, sans le savoir, se prépare psychologiquement à détendre sa rondelle. Nous assistons à deux acharnés qui se avalent des pines comme jamais. Deux avaloirs de service ! D'ici, on descend légèrement sa langue pour atteindre le cul, déjà ouvert à l'idée de se faire travailler par une langue habile. L'entrée anale n'est désormais plus verrouillée et les deux gars vont se proposer leur anus. Se ramonant au plus profond de leur antre, se chatouillant presque le fin fond de leur ventre, les deux gars gémissent ! Les jambes ouvertes à leur maximum pour ne pas perdre un seul centimètre de pine. Le foutre viendra hydrater ces anus déchirés. Une gourmandise anale !

Un beau minet en manque d'amour est étendu sur son plumard se demandant comment combler le vide. Après avoir bien réfléchit, il se souvient du numéro de téléphone d'un de ses ex copain qui appréciait terriblement sa présence. Ni une ni deux, il saisit le combiné et appelle son ancien copain qui ne se fait pas prier pour arriver subito presto. Ils sont tellement content de se revoir qu'ils n'attendent pas un instant pour s'embrasser pour des baisers chauds et humides, ils se tripotent les mamelons durcis par l'envie d'aller plus loin. Ils raidissent presque instantanément, leurs javelots serrés dans leurs pantalons, n'en pouvant plus, ne demandant qu'à sortir de cet étroit étui, ils se détachent pour laisser exploser deux grosses queues affamées de fesses et de fellations. Ils se masturbent tout en s'astiquant leurs capuchons devenus très sensible suite à des préparatifs sensuels…. Après cette vigoureuse entrée en matière, leurs soifs de défonce se fait plus ardent et c'est sans tarder que l'ex gars introduit son chibre dans les miches bien ouvert de son copain. Ils halètent de plaisir sous les coups de boutoir du beau Serge en rut. Ils finissent par se faire éclater manuellement, se masturbant la tige jusqu'à en faire évacuer le nectar chaud sur le cul bombé de l'autre dans une explosion de jus gluant.

Dans l'ombre des grands arbres qui bordent une rivière tumultueuse des Rocky Mountains, deux amis préparent leur campement pour la nuit. Ils pratiquent le hiking ensemble pour la première fois mais se connaissent depuis quelque mois, partageant le job dans la même boutique. À part une solide amitié qui s'est développée entre eux, quelque chose leur donne des frissons toutes les fois qu'ils sont ensemble. Cette sortie est comme un test et c'est maintenant que les amis ont l'occasion de se faire ce dont ils rêvent sans y croire. Ayant retiré leurs chemises, sous la toile tendue, leur passion se fait jour. Ils s'embrassent spontanément et se glissent les mains partout, se lèchent les arrières-trains et les burnes, s'engloutissent le bâton, savourant ces premiers échanges, ces premiers touchers, ces premiers baisers. Le plus entreprenant des deux a déjà une main au derche de son copain et y enfonce un majeur provocant. Le camping sauvage devient bientôt une baise sauvage qui ne va se terminer qu'avec de nombreuses éjaculations de nos deux compères...

Deux mâles virils sont invités à vivre une expérience. Ils seront enfermés dans une chambre pendant quelques heures. Les deux mâles sont de véritables prototypes, des machines de guerre. Une plastique parfaite, moins de 5% de matière grasse, musclés comme des purs sangs, bref deux merveilles de la nature. Seuls entre quatre murs, les deux hommes sont un peu méfiants. Ils tâtent le matos, pétrissant les muscles, malaxant la chair, les deux étalons s'observent. Seuls entre quatre murs, les deux hommes commencent à prendre confiance. Ils se caressent, s'embrassent. L'un deux, empoigne un mandrin et le place dans sa bouche, le tournant, l'enrobant de salive. L'autre semble aimer ça. Puis dans la position du 69, les deux bêtes se dégustent, bientôt se mangent. Un seul se fera pilonner : celui au crâne rasé. Le grand brun plaque son partenaire sur le ventre et lui perfore l'arrière-train ! Il peut l'entendre couiner. Son anus se détend sous les coups de zob répétés. Le zob s'enlise encore plus profondément. L'enculé gémit et se branle en même temps qu'il se fait labourer l'intérieur. Les deux jouissent presque simultanément et la crème brûle presque leur peau.

Les individus sont assez occupés par leur petit commerce mais ils trouvent toujours le temps de s'envoyer en l'air quand l'envie leur prend de le faire. Des jambes et puis des arrières-trains, c'est ce qu'ils aiment par-dessus tout, et aujourd'hui la situation exige qu'on se détende un peu avant de faire des affaires. Ils se soignent au-delà de ce qui est demandé par la situation. Belle chemise, belle chevelure, le black est tendu. Il n'y a qu'un moyen de le ramener à la vie c'est de lui donner le bouche à bouche, de dénouer sa cravate et son pantalon et de lui offrir une bonne grosse baguette. Le pervers se laisse séduire et prendre une première fois par le derche. Il adore qu'on lui bouffe le derche, qu'il a bien rond et bien athlétique. Il adore sentir une géante baguette dans sa gueule. Après l'avoir proprement astiquée, il aime se l'enfoncer dans le derche, à cheval sur son veinard, dos à lui, face à lui ou bien encore en levrette, il en oublie tous ses problèmes et se laisse aller à vider son sac. Voilà ce qu'il lui faut pour mener une affaire rondement.

Vous les voyez se balader dans la rue, allez chez l'un chez l'autre, sans trop savoir ce qu'ils nous préparent. Trois mecs d'à peine vingt ans, avec de petits culs tout fermes et des torses imberbes… Mais si vous passez une tête dans la chambre où ils se retrouvent, vous vous rendrez compte qu'ils ne sont pas si innocents qu'on veut le croire… De vrais cochons surexcités, qui veulent se taper la première partie à trois de leur vie. Le blond est assis sur le lit et se fait assaillir par ses deux copains, qui lui retirent tout de suite ses fringues et lèchent son corps tant qu'ils peuvent. Sexe, couilles, tétons : tout passe dans la bouche bouillante des deux canons. De minute en minute, les trois minets se retrouvent nus comme des vers, à se palper, se branler, se sucer, et que sais-je encore… La température de la pièce augmente à une vitesse folle… Mais il n'y aura pas de pénétration aujourd'hui, car le thème du jour est la pipe ! Une avalanche de sexe oral entre ces trois canons bandants, qui se pompent et se repompent jusqu'à ce que chacun ait jute tout ce qu'il pouvait ! Une vidéo saliveuse…

Des individus se déhanchent au rythme d'une musique endiablée alors que deux beaux mecs s'embrassent passionnément tout en dévoilant peu à peu leur corps avide de sexe brutal. Après s'être complètement dévêtus, l'un d'eux place dans sa bouche le zgeg bien dressée de son partenaire et le suce comme un sauvage. Tout près, trois autres minets très excités se branlent entre eux en se caressant le zob bien gonflée pour la préparer au combat. Mise en bouche l'oblige, ils vont s'astiquer le zob pour bien les lubrifier et ensuite se sodomiser à tour de rôle jusqu'à plus faim. D'autres, étendus sur une table, forment une brochette et se masturbent mutuellement pour augmenter leur plaisir insatiable. L'un d'entre eux s'empare brutalement de son masturbateur personnel pour poursuivre son ascension vers la gloire, alors qu'un autre s'enfonce sans pudeur un dildo dans le derrière. Leurs copains toujours en quête de plaisir non dissimilé continuent de se sucer entre eux jusqu'à ce qu'ils déchargent leur sperme en grand jet dans la bouche grande ouverte de leurs partenaires d'occasion.

Trois pièces de viandes colossales se donnent rendez-vous dans un entrepôt désaffecté. Cet endroit est froid, isolé de tout signe de vie. Les trois mâles sont de véritables tas de muscles, monstrueux, presque menaçant. Il semble il y avoir consensus sur le thème de la réunion. Un molosse polynésien taillé à la hache s'installe sur la table, écarte ses cuisses et attend la sentence. Il se fait littéralement bouffer l'arrière-train par un de ses partenaires ! Désormais bien lubrifié, il se prendra un zob bien dure au plus profond de son colon tandis que devant lui se dresse une autre queue énorme qu'il sucera à pleine bouche. Le gros polynésien se fait embrocher dans les deux sens, les coups de bassin, le propulsant bouche ouverte vers le zob tendu devant lui. Les deux colosses exploiteront de ses deux orifices sans faire dans la dentelle, lui enfonçant même un godemiché dans le postérieurs pour l'ouvrir davantage. Ils l'ont choisi et le punissent sévèrement, lui déchirant le cul en employant la manière forte. Les tonnes de muscles se heurtent violemment provoquant chaque fois un terrible tremblement confondu avec les rugissements sauvages des mâles excités. C'est son anus qu'ils tapisseront de jus chaud, hydratant ainsi le traumatisme provoqué.

Alors qu'il gît tranquillement sur son kiki, sans rien demander à personne, ce beau brun est constamment dérangé par son caïd qui insiste pour tourner encore une fois une vidéo. Décidément, on n'aurait jamais dû lui offrir cette caméra ! Mais bon, après tout le brun adore s'amuser à exciter son copain en se déshabillant devant lui lentement, jusqu'à finir en boxer moulant et saisir la caméra pour qu'il se désape à son tour. Les voilà tous les deux nus, à s'échanger la caméra mais aussi des pipes langoureuses et des léchouilles pas très raisonnables… Comme c'est son gars qui a eu l'idée de cette vidéo, autant le punir de son audace et le sodomiser sans crier gare en le filmant. Des coups de reins de plus en plus appuyés rythment la séquence de ce film amateur, qui commence vraiment à déraper ! Allongé sur le ventre, le veinard subit les assauts fougueux et sans interruption de son lascar, qui ne se gêne pas pour lui faire comprendre qui tient les manettes aujourd'hui. De là à orgasmer tout son jus sur ses abdominaux, il n'y a qu'un pas.

Entre l'aéroport et sa base, ce monsieur a découvert un petit parc isolé où il peut à son aise stationner le minibus qui sert de navette aux voyageurs qu'il prend dans les hôtels et prendre sa pause. Là, sous les arbres, à l'abri des regards, il peut se livrer à son rêve, faire l'amour en plein air. Puisqu'il lui est interdit de prendre des passagers quand il n'est pas en devoir, il compense. Sa nana est faite de vinyle. Elle est soumise et silencieuse. Elle a les formes idéales et les trous qu'il faut pour ses besoins. Il la cache dans l'espace cargo de son minivan et la gonfle avant de s'en servir. À même le sol du car, il fouille sa moule artificielle et cherche dans ses souvenirs la sensation évanescente de son doigt dans la foufe d'une femme, la chaleur, la moiteur, la douceur de la chair, son odeur... De l'autre main il secoue sa baguette pour la garder droite et y faire doucement monter le plaisir pendant que le soleil caresse son dos. L'ambiance le stimule, la peur d'être surpris, d'être dehors en plein air… Aujourd'hui il a emporté une couverture qu'il a étendue sur le sol pour le confort de sa belle. Étendue là sur le dos, elle lui tendait les bras et il lui a fait l'amour, lentement, amoureusement et c'est lui qui en retirait le plus de plaisir. Quand le jeu est devenu plus brutal il l'a retournée et a enfoncé sa baguette dans son vagin du cul. Bien excité, il a continué l'acte seul assis dans la camionnette. Il s'est masturbé et a éclate avant de reprendre la route.